• Amma (Mata Amritanandamayi)  

    AMMA 

    Grâce à ses extraordinaires actes d'amour et de sacrifice de soi,  Mata Amritanandamayi ou Amma (Mère) 

    comme on l'appelle, est devenue chère à des millions de gens dans le monde. Elle caresse avec tendresse 

    toute personne qui vient à elle et la serre sur son cœur dans une étreinte pleine d'amour. Amma répand son 

    amour infini sur tous, sans se préoccuper de leurs croyances, de ce qu'ils sont ni de la raison qui les a amenés 

    à elle. Par ce moyen simple, mais puissant, Amma transforme la vie d'un nombre incalculable de personnes et 

    aide leur cœur à s'épanouir. 

    Née en 1953 dans le Kerala, un état du Sud de l’Inde,  Amma est aujourd’hui une figure humanitaire et 

    spirituelle d’envergure internationale. Dès son plus jeune âge, animée d’un immense amour pour l’humanité, 

    Amma vient en aide à toutes les personnes en souffrance qu’elle rencontre. Elle leur apporte nourriture, soins 

    et vêtements et commence à les étreindre pour les consoler. 

    Ce geste, cette étreinte maternelle nommée Darshan, elle n’a jamais cessé de le mettre en oeuvre. 

    Elle a étreint à ce jour plus de 34 millions de personnes à travers le monde. 

    Elle répand par ailleurs son message d’amour et de tolérance partout sur la planète au cours de grandes 

    tournées mondiales. 

    Enfin, l’ONG qu’elle a fondé, Embracing the World, a pris une ampleur gigantesque à travers un réseau 

    d’oeuvres caritatives : orphelinats, dispensaires, hôpitaux, services sociaux, écoles, centres de formation, 

    programmes de micro-crédit, projets écologiques… En tant que spécialiste dans le secours d’urgence, ETW a 

    le statut de consultant au sein de l’ONU. 

    Ainsi, pour tout ce qu’elle a accompli, Amma a reçu de nombreux prix, notamment le prix Gandhi-King pour 

    la non-violence en 2002. 

    L'enseignement d'Amma est universel. Quand on lui demande quelle est sa religion, elle répond que c'est 

    l'Amour. Elle ne demande à personne de croire en Dieu ni de changer de religion ; 

    elle nous demande simplement de chercher à connaître notre nature réelle et d'avoir foi en nous-mêmes. 

    " Ma religion est l'Amour. " 

    " L'amour est notre véritable essence. L'amour ne connaît pas de frontières de caste, de religion, 

    de race ou de nationalité. Nous sommes tous des perles enfilées sur le même fil de l'amour. " - 

     

    Citations d'Amma 

     

    - Le but des pratiques spirituelles est de développer un cœur débordant d'amour envers tous les êtres. 

    - Le seul propos de la vie spirituelle est de renoncer à tout ce qui n'est point nous-mêmes et 

    de devenir ce que nous sommes réellement. 

    - Un objet change-t-il simplement parce qu'il est nommé différemment ? 

    L'eau, par exemple, se dit vellam en malayâlam et pani en hindi ; 

    sa couleur et son goût changent-ils pour autant ? Non. 

    Chacun comprend Dieu et le vénère en fonction de sa propre culture. 

    - Tout être humain, même s'il fait preuve de cruauté et d'égoïsme, a la capacité de s'éveiller. Cette faculté est 

    latente en chacun. Il y a un Krisna, un Rama, un Boudha ou un Christ en chacun de vous. La lumière de Dieu 

    pourrait se lever en vous à tout instant, elle attend simplement l'occasion favorable. Les grands maîtres 

    voient cette lumière cachée qui attend de se révéler, de transpercer les murs de l'égo.

     

      

     

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  • Kalou Rinpoché

    Norbou Deundroup, maître de retraite et principal détenteur de la Lignée Shangpa à 

    l’époque, eut un rêve limpide au cours duquel le protecteur de la Lignée (le Protecteur à Six Bras, Tchadroukpa) 

    l’avertissait de l’arrivée de son successeur. 

    Les prémonitions de ce genre étaient devenues courantes lors de la première rencontre des détenteurs de cette 

    Tradition avec leur héritier spirituel. Comme le maître se trouvait alors en retraite fermée, il indiqua à ses 

    assistants qu’il attendait la venue de quelqu’un de particulier et que, par conséquent, ils devraient inviter à 

    l’intérieur tous ceux qui arriveraient le lendemain. Le jour suivant, n’ayant vu personne entrer, Norbou Deun- 

    droup questionna ses assistants : “N’y a-t-il donc eu aucune visite ?” Ils répondirent que seul était venu un jeune 

    de seize ans accompagné de son yak. Ce visiteur leur ayant paru sans importance, ils lui avaient refusé l’accès. Le 

    maître de retraite les envoya de toute urgence rechercher le jeune homme. 

    Il s’avéra qu’il s’agissait de Kalou Rinpoché, qui voulait entrer en retraite de trois ans. Norbou Deundroup le 

    reconnut rapidement comme son successeur, lui conféra toutes les transmissions et le guida dans sa retraite. 

    Après la retraite, Kalou Rinpoché retourna chez lui où il étudia pendant dix ans la philosophie, la médecine et 

    l’astrologie bouddhistes, ainsi que d’autres matières. Puis il décida de renoncer aux commodités de cette vie, 

    pour s’en aller passer douze ans en retraite solitaire dans divers ermitages de montagne. C’est seulement à la 

    requête insistante de ses maîtres, que Kalou Rinpoché, s’inclinant devant cette destinée, retourna au monastère 

    afin d’assumer la responsabilité de maître de retraite à son ancien centre. 

    Quelques années plus tard, les conditions politiques concernant le Tibet s’étaient dégradées. 

    Kalou Rinpoché alla consulter S. S. le XVIe Karmapa à Lhassa ; en 1956, sur invitation de la reine mère du Bhoutan, 

    il se rendit dans ce pays afin de s’occuper d’un monastère. Puis il quitta le Bhoutan pour Darjeeling (Inde), et c’est 

    là qu’au cours des années 60, il devint un pôle d’attraction pour nombre de jeunes Occidentaux en quête de 

    spiritualité. Dès son arrivée à Darjeeling, Kalou Rinpoché était devenu le principal maître de Bokar Tulkou Rinpo- 

    ché, et sa source d’inspiration. Ce lama, également une réincarnation, étudia et accomplit plusieurs retraites de 

    trois ans sous la direction de Kalou Rinpoché ; ce faisant, il devint le principal maître de retraite et de méditation 

    pour l’école Shangpa comme pour l’école Kagyu. Par sa grande gentillesse, sa profondeur et sa simplicité, Bokar 

    Tulkou Rinpoché a donné une inspiration essentielle à la communauté des étudiants de Kalou Rinpoché à travers le monde. 

    Étant donné que de plus en plus de jeunes étudiants occidentaux s’intéressaient au Bouddhisme, le XVIe Gyalwang Karmapa demanda à Kalou Rinpoché

    de se rendre en Occident afin de voir si c’était un terrain propice au Dharma. Cela amena Kalou Rinpoché à effectuer en 1971 et 1972 son voyage initial hors d’Asie, au cours 

    duquel il fonda à Vancouver (Canada) l’un de ses premiers centres d’études du bouddhisme tibétain en Occident. Lors de son second périple à l’étranger, en 1974,

    il fonda des centres en Amérique du Nord et Paldenshangpa La Boulaye en France. En 1976, lors du troisième voyage, il fonda au cœur de la France (en Bourgogne du sud,

    à Paldenshangpa La Boulaye) le tout premier centre de retraite de trois ans pour étudiants occidentaux.

    C’est ainsi que plusieurs hommes et femmes originaires de divers pays furent regroupés et reçurent intégralement de Kalou Rinpoché

    la transmission et la formation de la Tradition Shangpa ; lorsqu’ils sortirent de retraite en 1980, ils devinrent les premiers lamas occidentaux officiellement reconnus en tant que tels,

    représentant alors une source d’inspiration profonde pour de nouvelles générations de bouddhistes occidentaux.

    Quand Kalou Rinpoché quitta cette Terre en 1989, il avait fondé plus de 60 centres du Dharma et inspiré la création de nombreux centres de retraite dans le monde. 

     

    Citations de Kalou Rinpoché 

     

    - Si nous pouvons atteindre la compréhension de ce que nous sommes vraiment, il n'y a pas de meilleur remède 

    pour éliminer toute souffrance. Ceci est le coeur de toutes les pratiques spirituelles. 

    - L'or de l'Eveil est dans le sol de notre esprit, mais si nous ne creusons pas, il reste caché. 

    - Prendre pour permanent ce qui est transitoire est illusion de fou.

     

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  • La vie m'a appris que les gens sont aimables, si je suis aimable ; 

    que les personnes sont tristes, si je suis triste ; 

    que tous m'aiment, si je les aime ; 

    que tous sont mauvais, si je les déteste ; 

    qu'il y a des visages souriants, si je leur souris ; 

    qu'il y a des visages amers, si je suis amer ; 

    que le monde est heureux, si je suis heureux ; 

    que les gens se mettent en colère, si je me mets en colère ; 

    que les gens sont reconnaissants, si je suis reconnaissant. 

     

     La vie est comme un miroir : Si je souris, le miroir me rend le sourire. 

    L'attitude que j'adopte vis-à-vis de la vie, est la même que la vie prendra vis-à-vis de moi. 

     

    La foi ne peut pas laisser de place au désespoir. 

    Lorsque l’on vainc son égoïsme, la peur disparaît. 

    N’écoutez pas une rumeur. Même si vous l’entendez, ne la croyez jamais. 

    Au moment crucial, ce qui importe n’est pas le cerveau mais la qualité humaine. 

    Seule une vie consacrée pour servir les autres est utile. 

    Un acte désintéressé est la source de la vitalité. 

    L’adversité constitue une épreuve pour l’amitié. 

    Sans le bien, l’âme s’épuise. 

    Etre courageux constitue la première condition pour une spiritualité. 

     

    Un lâche ne peut pas être moral. 

    La lâcheté est la plus grande faute. 

    Un lâche ne possède pas de sensibilité pour la justice. 

    Sans jamais rencontrer d’opposition, on ne peut se développer. 

     Il faut toujours se rappeler que l’éducation des enfant commence dès leur naissance et que les parents sont les meilleurs éducateurs. 

    Une éducation qui ne forme pas la qualité humaine chez un enfant n’a aucun sens.


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  • Mikao Usui

    Depuis les temps immémoriaux, il est arrivé souvent qu'un individu, qui avait découvert une loi originale 

    secrète, l'ait conservée pour lui-même ou l'ait partagée seulement avec ses descendants. 

    Ce secret était ensuite utilisé comme une sécurité matérielle pour ses descendants. 

    Le secret n'était pas transmis aux personnes extérieures. 

    Quoi qu'il en soit, c'est une ancienne coutume issue du siècle dernier. 

    Dans des temps comme ceux-ci, le bonheur de l'humanité est basé sur le travail en communauté et le désir 

    d'un progrès social. C'est pourquoi je ne permettrais à qui que ce soit de posséder le Reiki juste pour lui-même ! 

    Notre thérapie du Reiki (Reiki Ryoho) est quelque chose d'absolument originale et ne peut être comparé à 

    aucune autre voie au monde. 

    C'est pourquoi je souhaiterais rendre cette méthode accessible au public pour le bien-être de l'humanité. 

    Chacun de nous possède le potentiel de recevoir un cadeau du divin, qui a pour résultat l'unification du corps 

    et de l'esprit. De cette façon, un grand nombre de personnes feront l'expérience de la bénédiction divine. 

    Avant toute chose, notre méthode du Reiki est une thérapie originale, qui est construite sur le pouvoir spirituel de l'univers. 

    A travers celui-ci, l'être humain retrouvera en premier la santé, et ensuite la paix de l'esprit et la joie de vivre augmenteront. 

    Aujourd'hui, nous avons besoin d'amélioration et de restructuration dans nos vies, afin que nous puissions 

    libérer nos compagnons humains de la maladie et de la souffrance émotionnelle. 

    C'est la raison pour laquelle j'ose enseigner librement cette méthode en public. 

    Je n'ai pas été initié dans cette méthode par qui que ce soit dans l'univers. 

    Je n'ai pas eu non plus à faire d'efforts quelconques pour acquérir des pouvoirs de guérison supra-normaux. 

    Tandis que je jeûnais, j'ai touché une énergie intense et d'une façon mystérieuse,  j'ai été inspiré. 

    Comme par une coïncidence, il devint clair pour moi qu'il m'avait été donné l'art spirituel de guérison. 

    Bien que je sois le fondateur de cette méthode, il m'est difficile d'expliquer tout cela avec plus de précisions. 

    Des médecins et des savants font des recherches avec passion, mais il a été difficile d'arriver à une conclusion 

    qui soit basée sur la science médicale. Le temps viendra où le Reiki rencontrera la science. 

     

     

    Citations de Mikao Usui 

     

    - Si nous ne pouvons guérir nos propres maladies, comment pourrions nous guérir les autres? 

    - Tous les êtres en qui la vie a été insufflée ont reçu comme cadeau la faculté spirituelle de guérir. 

    - “ Dans chaque épreuve, ne cherchez pas l'ennemi, cherchez l'enseignement. ” 

    - Juste aujourd’hui, 

       Ne te mets pas en colère, 

       Ne te fais pas de souci, 

       Avec gratitude, 

       Accomplis ton devoir avec diligence, 

       Sois bienveillant avec les autres


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  • A seize ans, l'adolescent futur Ramana Maharshi fut saisi par l'angoisse de la mort. Il s'allongea à 

    même le sol : qu'est-ce qui se passe quand on est mort ? Le corps meurt, les pensées aussi... Que 

    reste-t-il, enfin ? Grâce à une concentration intense dont il dira qu'elle dura plusieurs heures sur cette 

    question totalement vitale : qu'est que la mort ?, il connaitra tout à coup l'illumination qui changera 

    totalement sa vie. 

    « Environ six semaines avant mon départ définitif de Madura, il se produisit dans ma vie un grand 

    changement. Ce changement fut soudain. J'étais seul dans une des pièces du premier étage, dans la 

    maison de mon oncle. Je n'avais été malade que rarement, et ce jour-là ma santé était excellente; 

    mais je fus pris soudain d'une violente peur de la mort. Rien dans mon état ne la justifiait, et je n'es- 

    sayai pas d'en découvrir la raison; je me contentai de l'éprouver. Je me disais: « Je vais mourir », et je 

    me demandais que faire. Il ne me vint pas à l'esprit de consulter un médecin, ou l'un de mes amis. Je 

    sentais qu'il me fallait résoudre moi-même le problème, et sur le champ. 

    « Le choc causé par la peur de la mort forçait mes pensées à l'observation intérieure, et je me répétais 

    mentalement, sans réellement formuler des paroles: « Maintenant que la mort est là, que signifie-t- 

    elle ? Qu'est-ce que c'est que mourir ? C'est ce corps-là qui meurt! » Et aussitôt je dramatisais le fait de 

    la mort. J'étais couché, les membres raides comme si j'étais mort réellement. 

    J'imitais la situation d'un cadavre pour donner à mon enquête une réalité plus grande. Je retenais ma 

    respiration, et serrais les lèvres pour qu'aucun son ne put s'en échapper, pour m'empêcher de 

    prononcer le mot « je », ou tout autre mot. « Bon! me disais-je, ce corps est mort. On l'emportera 

    complètement rigide au lieu de sa sépulture, où on le brûlera et le réduira en cendres. Mais suis-je 

    mort par cette mort de mon corps ? Mon corps est-il « moi » ? Il est silencieux et inerte, mais je sens la 

    pleine force de ma personnalité, et j'entends même la voix du « moi » au fond de mon être. Je suis 

    donc un esprit qui transcende le corps. Le corps meurt, mais l'esprit, transcendant le corps, ne peut 

    être touché par la mort. Ce qui veut dire que je suis un esprit immortel. » 

    « Ces pensées n'étaient pas obscures et ternes. Elles jaillissaient en moi telles d'éclatantes vérités, que 

    je percevais directement sans que mes activités cérébrales fussent en jeu. Le « moi » était donc quelque chose de très réel, la seule chose réelle dans mon état présent,

    et toute l'activité consciente de mon corps se concentrait sur ce « moi ». Depuis cet instant, la puissance fascinante de ce « moi » se plaça au cœur même de toute mon attention. 

    « La crainte de la mort avait disparu, et pour toujours. L'absorption dans le « moi » se poursuivit sans interruption. D'autres pensées passaient et disparaissaient,

    pareilles à diverses notes de musique, mais le « moi » demeurait comme la note fondamentale, sous-jacente à toutes les autres notes, et se confondant avec elles. 

     

    Citation de Ramana Maharshi 

     

    Aucune étude ou connaissance des écritures n'est nécessaire pour connaitre le Soi, pas plus qu'un 

    homme n'a besoin d'un miroir pour se voir lui-même. Toute connaissance doit-être en fin de compte 

    abandonnée comme non-soi. Les travaux ménagers, le soin des enfants ne sont pas nécessairement 

    un obstacle. Si vous ne pouvez rien faire de plus, au moins continuez à dire en vous-même, 

    mentalement, "je" absolu comme conseillé dans "Qui suis-je" . Si l'on pense sans interruption "je" 

    absolu cela conduit à l'état de réalisation du Soi. Continuez à le répéter quoi que vous fassiez, que 

    vous soyez assis, debout ou marchant. "Je" est le nom de Dieu. C'est le premier et le plus grand de 

    tous les mantras. Même OM ne vient qu'en second.


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  • Mahavatar Babaji

    "Mahavatar" signifie "grand avatar" (littéralement une incarnation divine), et "Babaji" est parfois traduit 

    par "vénéré père". La lignée des maîtres remontant jusqu'à Lahiri Mahasaya le désigne comme 

    l'incarnation de Shiva. 

    Haidakhan Babaji et Mahavatar Babaji, le maître immortel 

    Plusieurs personnes (Leonard Orr, Sondra Ray...) affirment que Haidakhan Babaji est Mahavatar Babaji, 

    le maître immortel rencontré par Lahiri Mahasaya en 1861 et décrit par Paramhansa Yogananda dans 

    son livre Autobiographie d'un yogi. Cette affirmation peut sembler contradictoire puisque Mahavatar 

    Babaji est décrit comme immortel par Yogananda alors que Haidakhan Babaji est mort en 1984. Mais 

    Babaji est aussi connu pour prendre le karma physique de ses dévots et dissoudre ces karmas par son 

    propre corps, au point de laisser son corps mourir. Babaji pourrait toujours réapparaître avec le même 

    corps par sa maîtrise de la matière. Ainsi, en 1970, Haidakhan Babaji serait apparu sous la forme d'un 

    adolescent dans une grotte sacrée au pied de l'Himmalaya. 

    De 1924 à 1970 bien que Babaji ne se manifestât pas publiquement, il y a beaucoup de témoignages de 

    son action avec de petits groupes de dévots. 

    En octobre 2010, Shri Muniraj, son disciple et successeur dans la direction de ses ashrams, a parlé de la 

    nouvelle venue de Babaji et qu'il aurait déjà pris une forme matérielle. Le 23 août 2013, Shri Muniraj 

    décède sans que Babaji ne se soit manifesté physiquement à nouveau, par contre il continue 

    d'apparaître en rêve à ses dévots de par le monde. 

    Babaji a enseigné que le Sanatana Dharma ou « religion éternelle » était de mener une vie basée sur la 

    vérité, la simplicité et l'amour. Bien qu'il ait enseigné dans une perspective hindoue, il considérait que 

    toutes les religions étaient bonnes et utiles. Il a également enseigné que le karma yoga et le japa, la 

    répétition d'un mantra, étaient le meilleur chemin à suivre pour la majorité des gens. Il a en particulier 

    souligné le mantra « OM Namah Shivaya » Le Japa, la répétition du nom de Dieu, était une partie centrale

    de l'enseignement de Haidakhan Babaji : "Ayez la foi ! Répéter le Nom du Seigneur n'est pas la première,

    mais dernière étape de la pratique spirituelle !

     

    Quand les lions entrent dans la forêt, les autres animaux courent au loin. De même, toutes les pensées mauvaises disparaîtront avec la répétition du Nom du Seigneur.

    Répéter le Nom du Seigneur vous apportera la compagnie des bonnes personnes et vous serez proche des saints.

    Bénis sont les quelques-uns qui laisseront le royaume du monde pour le Nom du Seigneur. Un tel dévot réside toujours dans mon cœur." 

    "Répétez toujours le Nom de Dieu. Quoi que vous fassiez, partout où vous êtes, répétez le Nom du 

    Seigneur. Om Namah Shivaya est le mantra originel. Il est tel un nectar, il nourrit chacun avec ce nectar. Quand Mahashakti, l'énergie primordiale, se manifesta

    la première, les mots qu'elle prononça furent Om Namah Shivaya".

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  • Nelson Rolihlahla Mandela

    dont le nom du clan tribal est « Madiba », né le 18 juillet 1918 à Mvezo (province du Cap) et mort le 

    5 décembre 2013 à Johannesburg (Gauteng), est un homme d'État sud-africain ; il a été l'un des dirigeants 

    historiques de la lutte contre le système politique institutionnel de ségrégation raciale (apartheid) avant de 

    devenir président de la République d'Afrique du Sud de 1994 à 1999, à la suite des premières élections natio- 

    nales non raciales de l'histoire du pays. 

    Nelson Mandela entre au Congrès national africain (ANC) en 1943, afin de lutter contre la domination 

    politique de la minorité blanche et la ségrégation raciale menée par celle-ci. Devenu avocat, il participe à la 

    lutte non-violente contre les lois de l'Apartheid, mises en place par le gouvernement du Parti national à partir 

    de 1948. L'ANC est interdit en 1960, et la lutte pacifique ne donnant pas de résultats tangibles, Mandela fonde 

    et dirige la branche militaire de l'ANC, Umkhonto we Sizwe, en 1961, qui mène une campagne de sabotage et 

    des actions terroristes contre des installations publiques et militaires. Le 5 août 1962, il est arrêté par la police 

    sud-africaine sur indication de la CIA, puis est condamné à la prison et aux travaux forcés à perpétuité lors du 

    procès de Rivonia. Dès lors, il devient un symbole de la lutte pour l'égalité raciale et bénéficie d'un soutien 

    international croissant. 

    Après vingt-sept années d'emprisonnement dans des conditions souvent très dures, et après avoir refusé 

    d'être libéré pour rester en cohérence avec ses convictions, Mandela est relâché le 11 février 1990. S'inspirant 

    alors de la pensée ubuntu dans laquelle il a été élevé, il soutient la réconciliation et la négociation avec le 

    gouvernement du président Frederik de Klerk. En 1993, il reçoit avec ce dernier le prix Nobel de la paix pour 

    avoir conjointement et pacifiquement mis fin au régime de l'apartheid et jeté les bases d'une nouvelle Afrique 

    du Sud démocratique. 

    Après une transition difficile où de Klerk et lui évitent une guerre civile entre les partisans de l'apartheid, ceux 

    de l'ANC et ceux de l'Inkhata à dominante zoulou, Nelson Mandela devient le premier président noir d'Afrique du Sud en 1994. Il mène une politique de réconciliation

    nationale entre Noirs et Blancs ; il lutte contre les inégalités économiques, mais néglige le combat contre le sida, en pleine expansion en Afrique du Sud. Après 

    un unique mandat, il se retire de la vie politique active, mais continue à soutenir publiquement le Congrès national africain tout en condamnant ses dérives. 

    Impliqué par la suite dans plusieurs associations de lutte contre la pauvreté ou le sida, élevé au rang de patrimoine commun de l'humanité, il demeure une personnalité

    mondialement écoutée au sujet des droits de l'homme et est salué comme le père d'une Afrique du Sud multiraciale et pleinement démocratique, qualifiée 

    de « nation arc-en-ciel », même si le pays reste confronté à de graves problèmes d'inégalités économiques, de tensions sociales et de replis communautaires. 


     

    Citations de Nelson Mandela 

     

    - Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse. 

    - En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d'en faire autant. 

    - J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre. 

    « L’honnêteté, la sincérité, la simplicité, l’humilité, la générosité, l’absence de vanité, la capacité à servir les 

    autres – qualités à la portée de toutes les âmes- sont les véritables fondations de notre vie spirituelle.  » 

    - N’oublie pas qu’un saint est un pêcheur qui cherche à s’améliorer. 

    Au cours de ma vie, je me suis entièrement consacré à la lutte du peuple africain. J'ai lutté contre la domina- 

    tion blanche et j'ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d'une société libre et 

    démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie et avec des chances égales. J'espère vivre assez pour 

    l'atteindre. Mais si cela est nécessaire, c'est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir.

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  • Osho

    Il faut que chacun de vous regarde en lui-même pour voir si oui ou non il a une aspiration authentique 

    vers le divin. Chacun devrait se poser cette question : « Est-ce que je désire connaître la vérité ? » 

    Soyez très clairs : votre soif du divin est-elle authentique, aspirez-vous ardemment à la vérité, au silence, 

    à la béatitude ? Si ce n’est pas le cas, alors comprenez que tout ce que vous faites ici ne servira à rien ; 

    cela n’aura aucun sens, aucun but.  Si vos efforts insignifiants ne portent pas de fruits, 

    ce n’est pas la méditation qui en sera responsable – c’est vous. 

    Aussi pour commencer, il vous faut rechercher l’authentique chercheur en vous. 

    Et soyez très clairs : est-ce que vous cherchez vraiment quelque chose ? 

    Si c’est le cas, alors il y a moyen de le trouver. 

    Un jour, Bouddha visitait un village. Un homme lui demanda : 

    « Chaque jour, tu dis que tout le monde peut devenir illuminé. 

    Pourquoi tout le monde ne s’illumine donc pas ? » 

    « Mon ami », répondit Bouddha, fais une chose : ce soir, fais une liste de tous les habitants du village 

    et écris leurs désirs en face de leurs noms. » L’homme se rendit au village et interrogea tout le monde ; 

    c’était un petit village avec peu d’habitants, et ils lui répondirent. Le soir, il s’en retourna et remit la liste 

    à Bouddha. Bouddha demanda : « Combien d’entre eux recherchent-ils l’illumination ? » 

    L’homme fut surpris, car aucun n’avait écrit qu’il désirait l’illumination. Et Bouddha dit : 

    « Je dis que tout homme est capable d’illumination, je ne dis pas que tout homme la désire. 

    Le fait que tout homme soit capable de s’illuminer est très différent du fait que tout homme désire 

    l’illumination. Si vous la désirez, considérez qu’elle est possible. Si vous cherchez la vérité, 

    il n’y a aucun pouvoir sur terre qui puisse vous arrêter. Mais si vous n’aspirez pas à la vérité, 

    alors il n’y a aucun pouvoir qui puisse vous la donner. 

    Aussi, vous devez commencer par vous demander si votre soif est réelle. Si c’est le cas, soyez certains qu’il 

    existe une voie. Sinon, il n’y a pas de voie – c’est votre soif qui sera votre voie vers la vérité. 

    La deuxième chose que je voudrais dire en guise d’introduction, c’est que vous avez souvent soif de quelque 

    chose, mais vous n’espérez pas vraiment obtenir ce que vous désirez. Vous avez un désir, mais vous n’êtes pas 

    optimistes. Le désir est là, mais avec un sentiment d’impuissance. 

    Si le premier pas est franchi avec optimisme, le dernier pas le sera aussi..... 

    Extrait du livre : La méditation pas à pas d’Osho (Editions Almasta) 


     

    Citations de Osho

     

    - N'essayez pas de comprendre autrui.  Efforcez-vous de comprendre ce que vous êtes. 

    C'est la seule façon de sortir de l'ignorance. 

    - Quand la joie a une cause, elle ne peut pas durer très longtemps... 

    Quand la joie est sans raison, elle reste à jamais ! 

    - Laissez tomber l'idée de devenir quelqu'un, parce que vous êtes déjà un chef-d'œuvre. 

    - Aimer c’est l’art d’être avec d’autres, méditer c’est l’art d’être en relation avec soi même, 

    laisser l’amour et la méditation être vos deux ailes.

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  • Taïsen Deshimaru

    Né à Saga d'une ancienne famille de samouraïs, Taisen Deshimaru fut dès son enfance profondément 

    marqué par la grande dévotion de sa mère qui était bouddhiste. Il ressentit douloureusement l'opposition 

    entre l'idéal religieux de cette dernière et le monde matérialiste de son père qui, homme d'affaire, le destinait 

    à une carrière dans le commerce. Il voulait résoudre ce conflit et espérait trouver la paix intérieure dans la religion. 

    A vingt ans, Taisen Deshimaru entama des études économiques. Déçu de l'éducation moderne qui négligeait 

    complètement la dimension spirituelle, toujours à la recherche du vrai sens de la vie, il entra en contact avec 

    les enseignements du zen Rinzai. Lors d'une mémorable sesshin dans le temple de Engaku-ji, au cours d'un 

    long zazen, un moine à moitié endormi le frappa d'un coup de kyosaku sur la tête. Alors, impétueux, Deshi- 

    maru lui arracha le bâton et lui administra une volée de coups en criant : "Ce n'est pas cela le zen !". Après 

    quoi il se rendit dans la chambre du maître et lui dit : "Je n'aime pas le zen, je veux partir !". Alors survint le 

    moine bâtonné qui se plaignit avec véhémence du scandale provoqué dans le dojo. Le maître éclata de rire : 

    "C'est cela le vrai zen !". 

    Son activité ne se limitait pas à l'enseignement dans le dojo. Il avait un profond désir d'aider l'homme de la 

    civilisation actuelle, dont il percevait le déséquilibre, et de lui faire réaliser par zazen une compréhension plus 

    approfondie de lui-même et de sa vie. Avec l'aide de ses disciples devenus de plus en plus nombreux, il créa 

    plus de cent dojo en Europe. A partir de ses enseignements, des textes zen fondamentaux tels le Shin jin mei, 

    l'Hokyo zanmai et le Shodoka furent publiés. Il fonda le temple de la Gendronnière, le plus grand dojo zen en Occident.

    Les sesshin d'été, dont la tradition remonte jusqu'à Bouddha Shakyamuni, ont permis au cours du temps à des milliers de participants

    de faire l'expérience de l'authentique pratique du zen. 

    Son enseignement était très concret et enraciné dans les situations de la vie quotidienne. 

    Comme les anciens maîtres chinois, il confrontait ses disciples avec des koan vivants. Il disait souvent : 

    "Ne faites pas de séparation entre le spirituel et le matériel. Vous devez embrasser les contradictions." 

    Son énergie et son dynamisme étaient tellement forts que ses proches disciples avaient du mal à suivre son 

    rythme. Il n'était pas rare d'être appelé à ses côtés en pleine nuit. Il souhaitait que, en dehors des sesshin et 

    de la pratique quotidienne de zazen, ses disciples aient une vie sociale, tout comme Maître Kodo Sawaki l'avait exigé de lui. 

    Dans ses dernières années, de plus en plus conscient de l'impermanence, mujo, Maître Deshimaru intensifia encore ses activités. Il travailla inlassablement, sans s'offrir de repos.

    Il disait parfois : "Ma vie sera peut-être brève, mais au moins elle n'aura pas été égoïste." Au début de l'année 1982, il tombe malade, ce qui ne l'empêche pas de pratiquer zazen

    chaque jours avec ses disciples. Au printemps, il quitte la France pour le Japon. Ses dernières paroles sont les mêmes que celles qu'il prononçait avant chaque départ :

    "Please, continue zazen." Quelques jours après, le 30 avril 1982, Maître Deshimaru mourut à Tokyo. Pendant quarante-neuf jours de suite, ses disciples pratiquèrent zazen sans interruption

    dans le silence total. Il légua à ses proches disciples l'essence du zen, zazen, qu'ils transmettent maintenant à leur tour. Comme Bodhidharma,

    il y a mille quatre cents ans, avait apporté le zen de l'Inde en Chine, comme Dogen, il y a sept cents ans, l'avait introduit au Japon,

    Maître Deshimaru a transmis l'essence de l'enseignement du Bouddha en Europe. 

     

    Citations Taïsen Deshimaru 

     

    - Il faut aller de pensée en non pensée et de non pensée en pensée. 

    - Il convient d’âtre complètement présent dans chaque geste : se concentrer ici et maintenant, 

       telle est la leçon du Zen. 

    - La pratique est éveil, l'éveil sans fin et la pratique sans commencement. 

    - Le secret du Zen consiste à s’asseoir, simplement, sans but ni esprit de profit, 

    dans une posture de grande concentration.

     

     

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  • Mère Teresa

    D'abord religieuse de l'ordre missionnaire des sœurs de Notre-Dame de Lorette (dès 1929), 

    elle quitte cette communauté en 1949 pour "suivre son appel" puis fonder sa propre congrégation en 1950. 

    Son œuvre auprès des plus démunis commence par l'éducation des enfants des rues et 

    l'ouverture du mouroir de Kalighat (Nirmal Hriday) à Calcutta. 

    Pendant plus de 40 ans, elle consacre sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux 

    mourants, d'abord en Inde puis dans d'autres pays, et elle guide le développement des Missionnaires 

    de la Charité. Au moment de sa mort, ceux-ci s'occupent de 610 missions, dans 123 pays, incluant des soupes 

    populaires, des centres d'aide familiale, des orphelinats, des écoles, des hospices et des maisons d'accueil 

    pour les personnes atteintes de maladies comme la lèpre, le sida ou la tuberculose. 

    Perçue comme un modèle de bonté et d'altruisme, elle est régulièrement évoquée dans la presse indienne 

    et occidentale pendant la deuxième moitié du xxe siècle 

    Mère Teresa devient en quelques décennies l’une des personnes les plus connues de la planète et une 

    légende vivante. Son nom devient synonyme d’amour inconditionnel, de don de soi et de dévouement. 

    Elle se désintéresse des honneurs, se rappelle rarement les prix reçus, ou vend les médailles afin de financer 

    son œuvre ; cela accentue son image de désintéressement, même si elle dit accepter les prix « en faveur des démunis ». 

    Tout au long de sa vie les reconnaissances pleuvent : Mère Teresa reçoit sa première distinction indienne, 

    la médaille de Padma Shri, dès 1962. Elle en recevra beaucoup d'autres, dont le Prix Jawaharlal Nehru pour le 

    dialogue international en 1972. Le jury explique son choix en affirmant : « On ne peut que rarement voir un 

    sacrifice aussi désintéressé et infatigable que celui de Mère Teresa en faveur des membres les plus faibles de 

    la société humaine. Ce service altruiste, fait sans aucune distinction de nationalité, de caste ou de religion et 

    sans aucune attente de reconnaissance publique, est un merveilleux exemple de la façon dont une œuvre 

    silencieuse et efficace, un travail, un dévouement, peuvent contribuer à la promotion de l’amitié et à la 

    compréhension entre les peuples ». 

     

     

    Son rayonnement dépasse tous les clivages religieux et culturels. Ainsi, les musulmans bengali l'appellent la Zinda Pir, ou Sainte Vivante en langue ourdou ;

    le Dalaï-Lama affirme « C'est un être pour qui j'ai le respect le plus profond. Dès l'abord, j'ai été frappé par l'absolue humilité de son comportement.

    Du point de vue bouddhiste, elle pourrait être considéré comme un bodhisattva ». 

     

    Citations de Mère Teresa 

     

    « Le fruit du silence est la prière. 

       Le fruit de la prière est la foi. 

       Le fruit de la foi est l'amour. 

       Le fruit de l'amour est le service. 

       Le fruit du service est la paix. » 

    « Le manque d’amour est la plus grande pauvreté.  » 

    « Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux.  » 

    « L’autre jour j’ai rêvé que je me trouvais devant les portes du paradis. Et saint Pierre me disait : 

    “Retourne sur Terre, il n’y a pas de bidonville ici”.  » 

    « Dieu est l’ami du silence. Les arbres, les fleurs et l’herbe poussent en silence. 

    Regarde les étoiles, la lune et le soleil, comment ils se meuvent silencieusement.  »

     

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  • Mooji

    Soyez sereins et tranquilles dans votre pensée et votre esprit. 

    Je ne suis ni un orateur, ni un prêcheur. Je n’ai pas la mission de changer le monde. Je n’ai pas de paroles ou 

    d’enseignement originaux à donner à quiconque. Je ne fais que refléter ce que j’ai vu et entendu – tout à fait 

    ordinaire, très commun. Je n’ai pas de fascination pour des pensées ou des activités nouvelles. 

    Tout enthousiasme pour des entreprises et des efforts qui concernent le monde est parti. 

    Pour moi, les pensées, les paroles et les activités de la vie ne sont que des instruments au service 

    du prasad de l’être. 

    Le monde tel que vous le percevez, la vie que vous pensez vivre et la personne que vous pensez être 

    apparaissent au sein de la conscience que vous êtes véritablement. Comme conscience, 

    vous êtes le témoin silencieux et impersonnel de tout ce qui se manifeste et apparaît. 

    L’observation et l’expérience directe de cette vérité intemporelle est ce qu’on appelle la liberté ou l’éveil. 

    Atma-vichara : Enquêter sur SA propre « NATURE », telle est l’invitation qui nous est lancée. 

     

    Citations de Mooji 

     

    - Quand nous regardons avec le « moi », Nous rêvons. 

    Quand nous cherchons ce qu’est le « moi », Nous nous réveillons. 

    - Ayez confiance en votre cœur et en son intuition. 

    Faites le choix d’abandonner la peur et de vous ouvrir au Vrai, 

    et vous vous éveillerez à la liberté, à la clarté et à la joie de l’être. 

     

    Servitude et libération sont des pièges conceptuels qui, par le pouvoir d’illusion de mahamaya, trompent 

    l’être qui est déjà libre, le transformant ainsi en une entité en recherche, elle-même illusoire. Nous ne 

    sommes que la présence consciente, éternellement libre, sans forme, heureuse et entière. La bonne nouvelle 

    du satsang est : vous êtes cela ! témoin sans effort de l’expression de la conscience ; bien que nous n’en soyons pas affectés,

    étant l’existence intemporelle, la conscience et la joie absolues. 

     

    - Mon bien-aimé, laisse derrière toi toutes ces pensées infructueuses et viens ici reposer dans le silence de l’Etre. 

     

    - L’être n’est pas un accomplissement. Vous n’avez pas besoin de faire, de défaire ou de changer quoi que ce soit,

    afin d’être. L’être véritable est insondable et au-delà de la connaissance. On ne peut pas le « trouver » au sens objectif ou phénoménal,

    car l’être est le champ sans forme au sein duquel apparaît le désir même de chercher. VOUS ETES DEJA CELA. 

     

    CE QUI EST n’a pas de qualités particulières ; évitez donc de lui adjoindre quoi que ce soit. Saisir pleinement 

    ce fait qui est toujours présent resplendit sous forme de joie, de compassion, de paix et de contentement. 

    Votre vie se déroule naturellement. Laissez-la telle qu’elle est ! elle n’a pas besoin de votre aide. 

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  • Omraam Mikhaël Aïvanhov

    Né en Bulgarie en 1900, Omraam Mikhaël Aïvanhov connût sa première extase mystique dès l’âge de 

    quinze ans. Après cette illumination, il consacra vingt années de sa vie à étudier et à se livrer à des exerci- 

    ces spirituels assidus, tout en restant bien ancré dans le réel, exerçant notamment différents petits 

    métiers manuels. 

    Envoyé en France en 1937 par Peter Deunov pour y faire connaître son enseignement, il le développa et 

    le compléta durant près de cinquante années afin de le rendre accessible aux multitudes et de préparer 

    l’humanité à assumer sa transition vers le Nouvel Âge. 

    Il a donné des conférences à travers le monde entier tout au long de sa vie et jusqu’à son passage dans 

    l’autre monde en décembre 1986. Plusieurs centaines de livres ont déjà été formés à partir des sténogra- 

    phies et des enregistrements de ces 5000 conférences. 

    Ces livres contiennent un enseignement très riche, incluant différentes méthodes pour aider l’homme à 

    s’adapter aux nouvelles énergies tout en poursuivant sa quête du véritable bonheur. Elles font appel au 

    Surya Yoga, ou yoga du Soleil, qui permet d’illuminer l’âme et de rajeunir le corps humain, au Hrani Yoga, 

    ou yoga de la nutrition, qui apporte la santé physique et psychique, et à différentes techniques qui 

    favorisent l’utilisation consciente des puissances de la pensée et des forces de la nature. 

    À travers cet enseignement et grâce à son rayonnement, Omraam Mikhaël Aïvanhov a ouvert à 

    d’innombrables personnes le chemin de la Lumière, attirant pour la première fois l’attention de 

    l’humanité sur la nécessité de réaliser sur la Terre une grande Fraternité planétaire, fondée sur une 

    religion solaire. 

     

    « Omraam Mikhaël Aïvanhov se situe dans la lignée des grands Maîtres de l’humanité, et sa parenté 

    spirituelle avec eux s’est manifestée à travers les moindres actes de sa vie. Son incarnation fut comme un 

    fleuve qui entraîna sur son parcours de puissants courants venus des plans supérieurs. Elle a tout trans- 

    formé sur son passage, redonnant vie à de nombreux êtres, les poussant vers le large et les orientant vers 

    leur mission de serviteurs de la Lumière. » 


     

    Citations de Omraam Mikhaël Aïvanhov 

     

    L'âme doit recevoir l'amour divin comme la femme reçoit l'amour de son mari.

    Cet amour divin qui apporte la plénitude de la vie, c'est l'amour qu'apporte l'Enfant-Christ.

     

    Et pourtant, savoir aimer est la chose la plus grandiose. Le véritable amour ne vous épuise pas, 

    au contraire, il vous embellit, il vous illumine, grâce à lui vous faites du bien à toutes les créatures, et surtout vous êtes heureux. 

     

    Ce qui fait la grandeur d'un être, ce n'est pas l'étendue de ses connaissances, mais sa bonté, sa lumière, son amour. 

     

    "Quelqu’un dit: “ Je suis heureux, parce que…” Eh bien, le seul fait de donner une cause à son bonheur 

    prouve qu’il ne possède pas le bonheur véritable. Car le véritable bonheur est un bonheur sans cause." 

    "Le bonheur c'est d'aimer à l'infini." 

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  • maître Xu yun

    L'éveil de Maitre Xu Yun 

     

    "...Je saignais continuellement. Attendant ma fin, je m'assis avec fermeté dans le hall de méditation jour et nuit 

    avec un zèle accru. Dans l'état de pure concentration de ma méditation, j'oubliai tout de mon corps et, vingt 

    jours plus tard, mon corps guérit complètement. Quand l'abbé de Cai-Shi Jetty vint offrir des vêtements à 

    l'assemblée, il fut rassuré et ravi de voir que mon apparence était radieuse. Il parla alors de ma chute dans la 

    rivière et tous les moines me tinrent en grande estime. Je fus alors dispensé de travailler dans le hall et pus 

    poursuivre ma méditation. 

    Mes pensées en arrivèrent à s'arrêter complètement, ma pratique se poursuivait jour et nuit. Mes pas étaient 

    aussi légers que si je flottais dans les airs. Un soir, après la dernière période de méditation, j'ouvris les yeux et 

    soudain, je perçus une clarté semblable au grand jour, dans laquelle toute chose à l'intérieur et à l'extérieur du 

    monastère m'était discernable. A travers le mur, je vis le moine en charge de l'allumage des lampes et de 

    l'encens en train d'uriner à l'extérieur, le moine en charge des invités se trouvait dans les toilettes, et plus loin, 

    je voyais des bateaux sur la rivière dont les rives étaient plantées d'arbres — je vis tout cela clairement juste à 

    la troisième heure de la nuit. 

    Le matin suivant, je questionnai le moine chargé de l'encens et celui en charge des invités qui me confirmèrent 

    ce que j'avais vu la nuit précédente. Comprenant que cette expérience n'était encore qu'un état temporaire, 

    je ne lui accordai pas une importance excessive. 

    Dans le douzième mois, au cours de la troisième nuit de la huitième semaine de sesshin, un moine vint remplir 

    nos tasses de thé après la fin de la méditation. Le liquide bouillant éclaboussa ma main et je lachai la tasse qui 

    tomba sur le sol en se brisant avec un bruit net; instantanément, mes derniers doutes au sujet de l'Esprit- 

    Racine furent tranchés et je me réjouissai à la réalisation de mon but tant espéré... 

    Extrait de Empty Cloud - The autobiography of the Chinese Zen Master XU YUN 

     

     

    Lâchez tout. 

    Ne laissez aucune pensée surgir. Ce sont les conditions de l'étude du Chan. Puisque nous le savons, 

    comment pouvons-nous y parvenir? Premièrement, nous devons mettre chaque pensée au repos, 

    jusqu'au point où, aucune pensée ne surgisse. 

     

    En faisant cela, nous serons certifiés d'atteindre le Bodhi instantanément, sans aucun trouble. 

    Deuxièmement, nous devons nous comporter correctement dans toutes nos actions, et pleinement 

    comprendre, que notre propre nature est originellement pure et claire. Nous devons réaliser que l'affliction, 

    le Bodhi, la vie, la mort, et le nirvana ne sont tout simplement que des mots et, qu'en tant que tels, ils n'ont 

    rien à voir avec notre propre nature. Tous les objets matériels sont comme des rêves et des illusions, 

    des chimères et des ombres. Dans le cadre de notre propre nature, nous sommes composés des quatre 

    éléments, qui sont comme des bulles, qui se forment aléatoirement et qui disparaissent dans la mer, 

    sans affecter la substance originale. Il ne faut pas se laisser emprisonner dans la renaissance, l'existence, les 

    changements et la rupture des choses illusoire de ce monde. Il ne faut pas non plus céder à l'affection et à 

    l'aversion, ni à la cupidité et au rejet. En ignorant totalement ce corps, comme si nous étions simplement une personne morte,

    nous allons naturellement réduire les effets d'être influencé par nos facultés sensorielles et notre conscience mentale. De cette façon,

    nous serons en mesure d'éliminer la cupidité, la haine, l'ignorance, et l'amour affectif.  Nous ne serons plus influencés par la douleur et les plaisirs que ce corps peut éprouver, 

    y compris la faim et le froid, la satiété et la chaleur, les honneurs et l'humiliation, la vie et la mort, le malheur et les bénédictions,

    la chance ou la malchance, la calomnie et les louanges, les gains et les pertes, la sécurité et le danger.

     

     

     

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